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Avis, roman


Sophie200

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Membre, Posté(e)
Sophie200 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour à tous,

Il y a quelques temps j'avais posté le début du roman que j'ai commencé à écrire. N'ayant pas eu beaucoup de réactions et ne pouvant plus éditer mon premier post, j'ai donc recréé un sujet où je vous mets le chapitre 1 en entier pour avoir vos avis :) N'hésitez pas à me signaler les éventuelles fautes d'orthographe !

Merci d'avance pour votre lecture !

La Chanteuse Masquée

Chapitre 1

Une douce odeur de fête flottait dans l'air. Un sourire s'étira sur les lèvres de Phila : ce n'était pas tous les jours qu'on célébrait la nouvelle année ! Il ne restait plus qu'une poignée d'heures avant que l'année 2118 ne commence. Tout en essayant d'atteindre les recoins les plus inaccessibles avec son balai, la jeune fille laissa son regard vagabonder vers la fenêtre. Le soleil se couchait à l'horizon, teintant les nuages de délicates nuances de rose. Tout à coup, elle fut prise de frissons, malgré les deux pulls en laine qu'elle avait enfilés l'un par-dessus l'autre. Le pas de sa mère retentit dans l'escalier. Elle ne tarda pas à faire son apparition dans le salon. Bien que sa tenue n'eût rien de fabuleusement sophistiqué, on sentait qu'elle avait fait un effort particulier ce soir. Ses cheveux d'un brun tirant sur le roux étaient relevés en un chignon simple mais élégant ; ses fines lèvres se trouvaient soulignées par un rouge à lèvre discret. Elle arborait un gilet noir bordé de dentelle, l'un des seuls héritages qu'elle tenaient de sa mère, et un pantalon gris légèrement trop grand pour elle.

- Tu es magnifique, la complimenta Phila.

- Merci, chérie, répondit-elle en souriant. Allez, arrête avec le balai maintenant, laisse-moi faire. Je ne veux pas que tu te fatigues pour ce soir.

- Je me sens parfaitement bien !

Sa mère vint néanmoins lui prendre le balai des mains. Phila resta quelques instants à regarder sa mère dénicher les derniers moutons de poussière qui maculaient le sol du salon, peinée de ne pas pouvoir l'aider autant qu'elle l'aimerait. C'était l'un des nombreux inconvénients de sa maladie - le moindre petit effort l'épuisait. Elle finit par se diriger vers ce qui symbolisait pour elle le réconfort : le piano. Il était l'unique objet de valeur qu'elles possédaient, ainsi que ce qui avait permis à Phila de tenir le coup après le déclenchement de sa maladie, une dizaine d'années plus tôt. La musique représentait l'une des raisons pour lesquelles Phila se levait le matin : lorsqu'elle s'asseyait au piano et chantait, elle retrouvait pendant quelques minutes cette sensation de sécurité qui l'avait quittée depuis si longtemps. Elle avait l'impression que tant que les mélodies l'habiteraient, rien ne pourrait lui arriver. Si fugitif soit ce sentiment, elle s'y raccrochait : elle en avait besoin.

Elle sortit l'une des partitions qui lui venaient de son père, et se mit à jouer. La plupart dataient d'il y a bien longtemps, alors que la France était encore unie et que la musique faisait partie intégrante du quotidien des gens. Phila n'avait que quelques vagues connaissances de ce temps lointain ; elle les tenait toutes de sa mère, qui les tenait elle-même de ses parents. Elle se surprenait souvent en train de rêver à cette époque où l'art était omniprésent : des musées remplis de ce que l'humanité avait fait de mieux, des salles de théâtre et de cinéma... Elle avait entendu parler de tout ça et ne pouvait qu'imaginer pareils spectacles : elle n'assisterait jamais à aucun. L'histoire de France précédant la montée au pouvoir d'Alexandre Noël n'était pas enseignée à l'E.F.P (établissement de formation professionnelle). Phila ne connaissait pas beaucoup mieux l'histoire plus récente : elle savait uniquement qu'une femme, Alexandra Noël, arrière-petite fille d'Alexandre et prénommée en son honneur, détenait le pouvoir et l'exerçait depuis une ville qui lui paraissait à des milliers de kilomètres d'ici : Paris. Se trouvant dans une zone primaire, la capitale était l'objet de nombreux fantasmes de Phila. Elle se demandait comment on pouvait vivre sans problèmes de santé ni d'argent. Cependant, à ce qu'elle avait entendu dire, les Représentants de l'Autorité y étaient bien plus stricts que dans sa petite ville de Brinnaud. Ils étaient plutôt laxistes ici, et bien que toutes traces des anciennes générations dussent être impérativement effacées, Phila n'avait jamais été embêtée pour ses partitions. Les autres qu'elle possédait avaient été écrites par son père lui-même ; et bien que ce ne fût pas les morceaux les plus époustouflants, ils restaient ses préférés. Elle avait le sentiment de rentrer dans l'intimité de ses pensées, plus efficacement que si elle avait pu dialoguer avec lui. C'était d'ailleurs le premier qu'il avait écrit qu'elle jouait en cet instant.

Laura observa les doigts de sa fille virevolter sur l'instrument. Elle ne put s'empêcher de constater, comme bien souvent, à quel point Phila ressemblait à son père. Elle tenait de lui son talent de pianiste, mais également ses épais cheveux d'un noir de jais et son grand cœur. Hélas, elle lui devait également sa maladie. Cela faisait maintenant quatorze ans que Grégoire avait quitté ce monde, et Laura le retrouvait chaque jour à travers sa fille.

Des coups frappés à la porte vinrent la tirer de ses funestes pensées. Elle s'empressa de poser le balai dans la cuisine, et ouvrit la porte d'entrée, talonnée par Phila. La famille Touret au complet fit alors son apparition dans le petit salon, David, le chef de la famille, en tête.

- Comment ça va, depuis l'autre jour ? demanda-t-il à Laura en l'embrassant.

- Ça va plutôt bien, répondit celle-ci en souriant.

Phila savait bien que c'était elle qui était désignée par le « ça ». Elle resta silencieuse, et se dirigea vers Olivia, la plus jeune de la famille, pour la serrer dans ses bras. Bien que ne la voyant peu souvent, elle l'appréciait sincèrement, et se retrouvait un peu en elle. Du haut de ses onze ans, Olivia était une jeune fille pétillante, au caractère rêveur. Comme Phila, elle avait une passion : le dessin. Lorsqu'elle avait du temps libre après l'E.F.P, on pouvait être à peu près sûr de la trouver dans sa chambre en train de dessiner, perdue dans un monde auquel elle seule pouvait accéder. Ses deux frères, Théo, âgé d'une douzaine d'années, et Maxime, le plus grand, ayant un an de plus que Phila, se tenaient derrière elle, attendant leur tour de faire la bise. Leur ressemblance était frappante depuis que Théo avait fait une poussée de croissance. Tous les deux grands et bruns, ils partageaient la même expression à moitié blasée, et à moitié réjouie de fêter le nouvel an. Comme chaque année, Phila se sentit légèrement gênée en embrassant Maxime. Ils s'écartèrent précipitamment l'un de l'autre.

Les Touret et Dureuil réunis allèrent s'installer autour la de table basse, où Laure avait disposé des verres et une bouteille de jus de pomme, seule boisson qu'elle avait pu dénicher sans manquer de quoi acheter la viande, bien que David ait payé la moitié. Phila s'installa sur le canapé, entourée de David et d'Olivia – c'était l'un des rares avantages à être malade : elle avait droit à la meilleure place les soirs de réveillon – tandis que les autres s'assirent sur des chaises. Elle se tourna vers David, ravie de le voir dans un cadre moins formel que son habitude. C'était le pharmacien du village : il avait hérité de la pharmacie à la mort de sa femme. Il était ce qui se rapprochait le plus d'un médecin et, par conséquent, il s'occupait de Phila. Une fois par semaine, il venait vérifier son poids, sa pression artérielle, son rythme cardiaque, sa santé en général, et essayait d'adapter son traitement à ces nouvelles données. Il se servait des fiches qu'avait faites sa femme du temps où celle-ci s'occupait de père de Phila. Le problème était qu'il ignorait totalement de quoi souffrait Phila, comme sa femme ignorait de quoi souffrait son père. Le village de Brinnaud se trouvant dans une zone secondaire, seuls quelques médicaments étaient livrés, les réels soins médicaux n'étant prodigués, eux, que dans des zones primaires. David ne possédait qu'un gros livre de médecine lui permettant de les administrer à peu près correctement.

- Alors, comment ça va à la pharmacie ? lui demanda Phila.

- Ça va très bien. J'ai eu de nombreuses visites de Mme Lesser ; elle s'acharne à essayer de me faire vendre des cachets pour sa maladie imaginaire ! Je vais te dire ce que c'est, moi, cette maladie : c'est la vieillesse ! s'exclama-t-il avec un clin d’œil.

- Eh oui, elle vous rattrape tous ! répliqua Phila en riant.

- C'est ça, moque toi de moi ! fit-il semblant de s'indigner. Tu entends ce que dit ta fille, Laura ? C'est comme si elle nous traitait de vieux !

Laura interrompit sa conversation avec Maxime et Théo, et rejeta la tête en arrière en riant.

- Ma fille est toujours très délicate, fit elle remarquer.

- Bon, passons aux choses sérieuses, fit David en se frottant les mains.

Il tira une bouteille d'un sac usé qu'il avait posé près du canapé. Phila ouvrit grand les yeux en voyant l'étiquette.

- Champagne ! annonça Olivia, ravie.

- Mais pas beaucoup pour toi, dit David en lui ébouriffant les cheveux.

- Oh, David, il ne fallait pas ! s'exclama Laure. Ç'a dû te coûter les yeux de la tête...

- Mais non, ne t'inquiète pas. Les affaires marchent bien, à la pharmacie, expliqua-t-il. D'ailleurs, nous avons quelque chose à fêter, en plus de la nouvelle année. Tu leur annonces, Maxime ?

- Eh bien, les bénéfices de cette année ont dépassé ce que nous espérions. Papa est débordé, alors... il m'a proposé de travailler avec lui.

Son regard s'illumina tandis qu'il annonçait la nouvelle. Maxime avait passé les quatre derniers mois à travailler dans les champs, seul endroit où il avait trouvé du travail à la sortie de l'E.F.P , comme la mère de Phila et la plupart des habitants de Brinnaud. Le travail y était rude et épuisant. Alors, quand son père lui avait dit qu'il avait besoin d'aide, il avait laissé éclater sa joie.

- Félicitations ! s'écria Laura tandis que David lui tendait un verre rempli, une fois n'est pas coutume, de Champagne.

Il servit tout le monde, puis leva son verre à la nouvelle année. Tous trinquèrent gaiement. Les conversations allèrent bon train ; les deux familles étaient d'humeur joyeuse. Le temps d'une soirée, ils oubliaient leurs soucis liés au travail, à la pauvreté de leur village, inévitable dans une zone secondaire. Phila se sentait un peu moins malade. Puis ils passèrent à table ; le hasard fit que Maxime et Phila se retrouvèrent à côté. Décidée à adresser au moins une fois la parole à son voisin de table, celle-ci prit son courage à deux mains et le félicita pour son nouveau travail. Il se racla la gorge avant de la remercier, en ne rencontrant son regard qu'un instant avant de fixer son assiette. Ce malaise entre les deux jeunes gens s'était établi il y a plusieurs années. Maxime avait vu sa mère mourir un an avant le déclenchement de la maladie de Phila ; quand il avait vu son père s'occuper si souvent d'une petite fille qu'il ne connaissait même pas, alors que lui-même avait tant besoin de lui, un profonde rancœur s'était ancrée dans son cœur. Il avait détesté Phila pendant des années, piquant régulièrement des crises de jalousie devant elle ou seul avec son père, ne comprenant pas quand celui-ci lui disait qu'elle était malade et qu'il devait l'aider ; puis, un soir de réveillon comme celui-là, il avait enfin compris une infime parcelle de ce qu'elle vivait quotidiennement. Maxime s'en souvenait comme si cela s'était déroulé la veille. Laura avait passé le plat contenant la purée à Phila pour qu'elle se serve ; celle-ci l'avait saisi avec difficulté. Ses bras tremblaient, mais Laura ne s'était rendu compte de rien. Quand Phila avait lâché le plat d'une main pour pouvoir se servir, inévitablement, elle l'avait fait tomber sur son bras. En plus de se le casser, elle avait écopé d'une sévère brûlure. Maxime l'avait vue plâtrée à l'E.F.P pendant des mois, endurant la douleur en silence. Il s'était senti honteux de son comportement, et n'avait plus pu la regarder dans les yeux depuis.

En face d'eux, David songea pour la énième fois comme il était dommage qu'ils ne soient pas plus proche que ça. Si seulement ils pouvaient apprendre à se connaître, il était évident qu'ils s'entendraient à merveille ! Soudain, David eut une brillante idée qui provoqua son sourire.

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Membre, Posté(e)
June615 Membre 275 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour! J'ai lu ton chapitre 1 et voilà ce que j'en retire (je précise que je tente de faire des critiques constructives et qu'en aucun cas tu ne dois prendre mes propos pour de la moquerie!) :)

Les points négatifs

- Les phrases sont parfois lourdes

- On ne connaît pas certaines informations qui nous permettraient de rentrer plus facilement dans l'histoire, je pense à l'âge de Phila et de Maxime

- Il y a des incohérences dans l'histoire : Olivia a 11 ans et va à l'EFP (à cet âge-là, on quitte à peine la primaire), l'histoire d'héritage de la pharmacie (que faisait David avant?), Maxime qui va travailler à la pharmacie (il faut un diplôme pour travailler dans une pharmacie, même sur piston ça ne fonctionne pas), et David qui prodigue des soins à Phila (ce n'est pas le rôle d'un pharmacien de faire ça), il n'existe pas de zones primaires et secondaires, et les médicaments se commandent dans une pharmacie, donc pas de restrictions à ce niveau-là, les travaux des champs sont globalement automatisés sauf certains, mais ceux-ci n'ont pas lieu tout le long de l'année alors on ne peut pas "vivre" de ça.

- Il y a des clichés : la veuve et l'orpheline malade désargentés, la petite ville loin de tout (travail et médicaments), on voit tout de suite où tu veux en venir entre Maxime et Phila voire Laura et David

- Qu'est-ce qu'une odeur douce de fête? Et tu utilises encore la notion de chef de famille? :mef2:

Les points positifs

- Il y a très peu de fautes d'orthographe

- Il y a peu de répétition

- La lecture est fluide

- Tu as bien posé les personnages principaux, même si tu aurais pu rajouter plus de détails

Voilà, j'ai essayé d'être objective, et j'espère que cela t'aidera un peu! :bo:

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Membre, Explorateur de Nuages, 46ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 22 673 messages
46ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)

- Il y a très peu de fautes d'orthographe

Il y a quand même le balais qui pique les yeux ...

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Membre, Posté(e)
June615 Membre 275 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il y a quand même le balais qui pique les yeux ...

Il y en a, mais globalement ça va, enfin je trouve!

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Membre, Posté(e)
Sophie200 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour! J'ai lu ton chapitre 1 et voilà ce que j'en retire (je précise que je tente de faire des critiques constructives et qu'en aucun cas tu ne dois prendre mes propos pour de la moquerie!) :)

Les points négatifs

- Les phrases sont parfois lourdes

- On ne connaît pas certaines informations qui nous permettraient de rentrer plus facilement dans l'histoire, je pense à l'âge de Phila et de Maxime

- Il y a des incohérences dans l'histoire : Olivia a 11 ans et va à l'EFP (à cet âge-là, on quitte à peine la primaire), l'histoire d'héritage de la pharmacie (que faisait David avant?), Maxime qui va travailler à la pharmacie (il faut un diplôme pour travailler dans une pharmacie, même sur piston ça ne fonctionne pas), et David qui prodigue des soins à Phila (ce n'est pas le rôle d'un pharmacien de faire ça), il n'existe pas de zones primaires et secondaires, et les médicaments se commandent dans une pharmacie, donc pas de restrictions à ce niveau-là, les travaux des champs sont globalement automatisés sauf certains, mais ceux-ci n'ont pas lieu tout le long de l'année alors on ne peut pas "vivre" de ça.

- Il y a des clichés : la veuve et l'orpheline malade désargentés, la petite ville loin de tout (travail et médicaments), on voit tout de suite où tu veux en venir entre Maxime et Phila voire Laura et David

- Qu'est-ce qu'une odeur douce de fête? Et tu utilises encore la notion de chef de famille? :mef2:

Les points positifs

- Il y a très peu de fautes d'orthographe

- Il y a peu de répétition

- La lecture est fluide

- Tu as bien posé les personnages principaux, même si tu aurais pu rajouter plus de détails

Voilà, j'ai essayé d'être objective, et j'espère que cela t'aidera un peu! :bo:

D'abord, merci pour ta réponse ! Ce que j'ai oublié de préciser et qui n'est pas évident à comprendre en ne lisant que le chapitre 1 (quoique au moment où j'évoque les zones c'est sous-entendu) c'est que l'histoire ne se passe pas dans le monde qu'on connaît aujourd'hui, mais dans un futur où la France est découpée en deux sortes de zones, et les soins médicaux ne sont prodigués que dans les zones primaires. Dans ce futur "l'école" à proprement parler est différente, ce que j'appelle l'E.F.P regroupe l'ancienne école primaire + collège lycée. Et comme les personnages principaux habitent dans une zone secondaire, ils sont forcément désargentés... Après oui je sais on voit où je veux en venir :-/ mais je voulais amener très rapidement l'histoire d'amour entre les deux personnages qui va entraîner le départ de Phila de sa ville, c'est à ce moment que l'histoire démarre réellement. Tu trouves que ce serait plus efficace si je délivrais plus d'informations dans le chapitre 1 ? Est-ce que ça ne ferait pas trop d'un coup ?

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Membre, Posté(e)
June615 Membre 275 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

D'accord, j'avais un petit doute sur le faut que ça ne se passait pas dans le monde d'aujourd'hui!

Dans ce cas, je pense qu'effectivement tu devrais préciser un peu plus le cadre dans le chapitre 1 : l'année dans laquelle ça se situe et les différences par rapport à la réalité. Je ne pense pas que ça surchargerait trop le premier chapitre, parce que pour l'instant il n'est pas excessivement long, et au moins, on se dirait que ce n'est pas une simple histoire d'amour que tu vas nous narrer, mais tout un nouveau fonctionnement de la France, ça peut donner plus envie de lire la suite. ;)

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Membre, Posté(e)
Sophie200 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

D'accord, j'avais un petit doute sur le faut que ça ne se passait pas dans le monde d'aujourd'hui!

Dans ce cas, je pense qu'effectivement tu devrais préciser un peu plus le cadre dans le chapitre 1 : l'année dans laquelle ça se situe et les différences par rapport à la réalité. Je ne pense pas que ça surchargerait trop le premier chapitre, parce que pour l'instant il n'est pas excessivement long, et au moins, on se dirait que ce n'est pas une simple histoire d'amour que tu vas nous narrer, mais tout un nouveau fonctionnement de la France, ça peut donner plus envie de lire la suite. ;)

D'accord, je vais le retravailler alors. Merci pour tes conseils :)

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Membre, Posté(e)
Sophie200 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je viens d'éditer mon premier message, j'ai fait quelques modifications. J'aimerais bien avoir de nouveau ton avis si tu as le temps :) et celui d'autres personnes aussi !

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  • 2 semaines après...
Membre, nyctalope, 39ans Posté(e)
Criterium Membre 2 852 messages
39ans‚ nyctalope,
Posté(e)

J'aime bien également. Ton style est simple et fluide, je ne trouve pas que les phrases soient lourdes. Par contre il y a une différence que je trouve nettement perceptible entre l'écrit et les parties dialoguées qui, elles, butent un peu, sans doute parce qu'elles sont pour une grande part (et surtout au début) de la conversation phatique (= salutations, formules d'usage, pas/peu de transfert d'informations). Le tout se lit bien dans l'ensemble.

Je ne suis pas pour délivrer plus d'informations dès le chapitre 1, il y a déjà beaucoup de personnages, de noms, et il est toujours plaisant pour l'imagination d'avoir seulement quelques indices du contexte, permettant ainsi de deviner entre les lignes l'arrière-plan de l'histoire. Ça contribue à l'atmosphère du récit. L'on devine aisément ce que tu voulais dire par zone primaire, à mon avis, d'autant plus que tu donnes une date dans le futur. Les petits indices évoquent un district à la Hunger Games. :)

Et effectivement, l'on devine tout de suite qu'il va y avoir une histoire d'amour entre les deux. Si c'est une bonne chose ou pas, ça dépend de la suite du roman; si sa matière complète ne tourne qu'autour de cette histoire d'amour, ça ne l'est sans doute pas; si c'est un incipit à des péripéties diverses et variées, ça n'est pas un problème du tout. En somme certains de tes choix narratifs ne pourront être appréciés que dans le "tout".

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Membre, Posté(e)
Sophie200 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Merci beaucoup pour ta réponse ! :D Je suis contente que ça te plaise !

Je vais revoir un peu les dialogues alors. Pour l'histoire d'amour, elle n'est importante qu'au début et à la fin de l'histoire, pendant la plus grande partie les deux personnages ne sont pas ensemble.

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  • 2 mois après...
Membre, Posté(e)
Harper-Trophy Membre 10 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Slt Sophie200. Il faut avoir de l'imagination pour réaliser ce que tu fait, excellent récit. tu nous offre un voyage dans le futur. En passant, j'écris aussi un roman policier et je compte partager un extrait comme par exemple le prologue. j'espère bcp que toi et les autres y jetteriez un coup oeil.

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  • 1 mois après...
Membre, Posté(e)
Sophie200 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Salut, je n'ai vu ton message que maintenant, merci beaucoup ! Je serais contente de lire l'extrait de ton roman :) Tu l'as posté ? Si oui je veux bien avoir le lien :)

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