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Qu'est-ce qui se joue dans la sexualité ?


Marioons

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Membre, 10ans Posté(e)
Marioons Membre 217 messages
Baby Forumeur‚ 10ans‚
Posté(e)

Outre l'instinct de reproduction et la quête de plaisir, en quoi la sexualité pourrait-elle avoir une dimension philosophique ?

Merci d'être pertinent et de détenir la vérité dans vos réponses. C'est un minimum. (humour.) :cool:

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Membre, Posté(e)
lucianyse Membre 602 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

je serais tenter de dire le désir :

Le mot « désir » évoque les concepts suivants : besoin, volonté, envie, souhait, tendance, penchant, inclination, velléité, fantasme, amour, passion. Si on prend le mot « désir » au sens le plus large, il désigne tout cela, c’est-à-dire tout ce qui, en l’homme, est tendance (vers quelque chose).

Ainsi conçu, le désir est la source de toutes les émotions (ou passions, sentiments, affections, affects). En effet, tous les sentiments n’existent que parce que nous désirons certaines choses : le désir divise le monde en choses à rechercher et choses à fuir, c’est-à-dire en bon et en mauvais. Toutes les émotions découlent de ce partage primitif : si nous sommes tristes, c’est que nous obtenons une chose que nous ne désirons pas ou que nous n’obtenons pas une chose que nous désirons ; si nous sommes joyeux, c’est pour les raisons inverses ; et il en va de même pour toutes les autres émotions : toutes découlent d’un certain désir.

Tout ceci entraine au plaisir... C'est une façon d'aborder l'Amour philosophiquement a mon sens .

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Membre, 45ans Posté(e)
renard79 Membre 3 212 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Donner une dimension philosophique à la sexualité? C'est une idée noble mais ne serait ce pas encore un délire de femme?

Enfin bon, je vais attendre que le sujet se développe avant de juger mais cette idée me parait pour le moment farfelu...

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Membre, 10ans Posté(e)
Marioons Membre 217 messages
Baby Forumeur‚ 10ans‚
Posté(e)

Oui, ce que tu dis est éclairant.

Tout cela partirait donc d'un sentiment de manque, et le désir serait cette pulsion vitale qui nous pousserait à aller vers ce qui semble nous manquer pour vivre, voir vivre heureux.

Les émotions seraient les mouvements, les modifications dans le corps et l'esprit en réaction à l'extérieur. Le plaisir nous indiquerait que nous avons laissé "pénétré" un bout de l'extérieur qui semble combler (au moins momentanément) ce sentiment de manque, de vide intérieur.

Mais d'où viens ce sentiment ? Est-il juste ? Est-il pertinent de chercher à l'atténuer en nous nourrissant de ce qui n'est pas nous ?

Donner une dimension philosophique à la sexualité? C'est une idée noble mais ne serait ce pas encore un délire de femme?

[...]cette idée me parait pour le moment farfelu...

Haha qu'entends tu par un délire de femme ? En quoi cela te paraît-il farfelu ?

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Membre, 32ans Posté(e)
Mr.Leon Membre 296 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

C'est ce que la psychanalyse freudienne et lacanienne étudie.

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Membre, 10ans Posté(e)
Marioons Membre 217 messages
Baby Forumeur‚ 10ans‚
Posté(e)

Je n'en doute pas, mais cela n'interdit pas d'y réfléchir "directement" ;)

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Membre, 45ans Posté(e)
renard79 Membre 3 212 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Les femmes veulent théoriser le sexe. Pourquoi pas mais pourquoi essayer de donner une dimension philosophique au sexe? Dans l'acte de pénétration, pourquoi faudrait il y voir une sorte de philosophie?:mouai:

J'avoue, je ne comprends pas bien le but de ce topic pour l'instant mais attendons car peut être que certains ici arriveront à me faire changer d'avis :sleep:

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Membre, 10ans Posté(e)
Marioons Membre 217 messages
Baby Forumeur‚ 10ans‚
Posté(e)

Peut-être, nous verrons. En attendant, inversons les choses : pourrais tu tenter de me faire changer d'avis en m'expliquant pourquoi tu penses qu'il ne faudrait rien voir de philosophique dans la sexualité ?

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Membre, 45ans Posté(e)
renard79 Membre 3 212 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Le manque dont tu parles, j'ai l'impression qu'il se résume à l'amour et tout ce qui tourne autour à savoir le désir, le plaisir, le jouissif etc...

Là on peut peut être y voir de la philosophie, j'oserais dire que c'est peut être dans le simultané de la pénétration et du regard. Cela transcende et t'amène à voir en l'acte une sorte de transportation, quelque chose de fort spirituellement parlant...

Je sais pas... Je dis peut être des grosses conneries mais bon, sinon, le sexe reste simplement l'envie de toucher le nirvana, de se faire plaisir et faire plaisir en même temps même si ce n'est pas toujours gagné de conjuguer les 2 à la fois :p

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 083 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Et pourquoi toujours tout conceptualiser ,tout élever au mental ,à l'esprit ?Dans la formule TOMBER amoureux ,il y a le mot tomber justement .Et c'est là que l'on doit laisser l'esprit de côté pour laisser parler l'instinct ,les sens ,le petit animal en nous.Celui qui a peur que ses gènes disparaissent et qui se reproduit pour être éternel au travers de la transmission de la vie ( et de la moitié de ce qu'il est) dans un autre corps qui est censé lui survivre et se reproduire jusqu'à la fin des temps ,ou jusqu'à ce que l'on trouve d'autres planètes habitables .

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Peut-être, nous verrons. En attendant, inversons les choses : pourrais tu tenter de me faire changer d'avis en m'expliquant pourquoi tu penses qu'il ne faudrait rien voir de philosophique dans la sexualité ?

Il me semble que la sexualité n'est pas un grand thème de la philosophie .

Philosophie

Disciples d'Aristote, Platon, Kant ou Nietzsche, vous pourrez réfléchir ensemble sur les grands thèmes de la philosophie.

Peut-être parce que le septième ciel ne se raisonne pas , il se vit .

Il y a bien la notion d'" Ekstase" ,Être-hors-de-soi de l'existence et du temps (Heidegger l'être en son impropriété) --> l'ekstatikon _

Est-on plus vivant , plus dans le temps , ainsi figé dans l'extase ?

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Quelle audace, Marioons, je sens poindre les soirées mousses à l'horizon de ce topic... ! Youpi !

Mais que l'horizon est loin... alors, en attendant : parlons sexe.

La sexualité est une mise en acte à la fois du corps et de l'esprit, que l'on soit amoureux ou pas. D'une personne ou pas - englobez ici tout ce qui vous passe par la tête : chèvre, Madame Cinq, sextoys, etc. cela ne changera rien à la donne ni à la (quatrième) dimension philosophique dans laquelle vous vous apprêtez à entrer...

C'est l'absence de mots qui va motiver cette mise en acte et c'est tout à fait éloquent lorsqu'on s'intéresse à l'autre façon de nommer la sexualité :

Faire l'amour.

L'amour se pense, se dit et inexorablement, les mots y manquent alors il se fait. Finalement, cette incapacité à dire laisse surgir une faille dans la compréhension de soi et crée une tension interne qui ne trouvera de salut qu'à travers l'exaltation du corps, cependant illusoire.

Si, pour Lacan, l'acte ne réussit jamais si bien qu'à rater, il faut y entendre, dans notre exemple, que seuls les mots parviendront à apaiser nos failles... et c'est probablement pour cette raison que la frénésie sexuelle d'un jeune couple s'atténuera au fil de leur amour qu'ils parviendront si bien à se dire après de longues années.

La nécessité laissant place au simple mais néanmoins pur désir de partage.

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Membre, 45ans Posté(e)
renard79 Membre 3 212 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Une idée m'est venue cette nuit... Si on devait donner une dimension philosophique au sexe, je dirai que cela concerne l'orgasme et le rapport de domination de l'homme sur la femme...

Dites moi si je me trompe mais j'ai envie de dire que si un homme arrive à faire jouir une femme, alors l'homme aura la satisfaction du "travail bien fait" et donc lorsque celui-ci jouira, il aura ce plaisir d'avoir fait plaisir. On sait que l'orgasme entre un homme et une femme a des différences. C'est plus long chez une femme pour atteindre l'orgasme, donc c'est pour cela que les hommes se doivent de s'occuper d'abord du plaisir de leur partenaire avant de s'occuper de leur plaisir. Si on prend la situation inverse, un homme qui pense d'abord à son plaisir aura du mal à faire un plaisir à son partenaire... Alors, l'homme n'aura pas de problème pour jouir mais vu qu'il n'aura pas pris le temps de faire plaisir à sa partenaire, l'homme aura ce sentiment "d'échec" et donc ne pourra pas profiter pleinement de sa jouissance...

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Membre, Posté(e)
mic1 Membre 142 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

bonjour

oui renard79, imagine si ça aurait le contraire, que la femme dispose, il n'aurait pas de survivance.

si l'homme mettait 1 heure pour jouir et la femme 3 minutes.

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Membre, 10ans Posté(e)
Marioons Membre 217 messages
Baby Forumeur‚ 10ans‚
Posté(e)

Maudite survivance ! ^^

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Membre, Posté(e)
mic1 Membre 142 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

tu est bien la.

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Une idée m'est venue cette nuit... Si on devait donner une dimension philosophique au sexe, je dirai que cela concerne l'orgasme et le rapport de domination de l'homme sur la femme...

Dites moi si je me trompe mais j'ai envie de dire que si un homme arrive à faire jouir une femme, alors l'homme aura la satisfaction du "travail bien fait" et donc lorsque celui-ci jouira, il aura ce plaisir d'avoir fait plaisir. On sait que l'orgasme entre un homme et une femme a des différences. C'est plus long chez une femme pour atteindre l'orgasme, donc c'est pour cela que les hommes se doivent de s'occuper d'abord du plaisir de leur partenaire avant de s'occuper de leur plaisir. Si on prend la situation inverse, un homme qui pense d'abord à son plaisir aura du mal à faire un plaisir à son partenaire... Alors, l'homme n'aura pas de problème pour jouir mais vu qu'il n'aura pas pris le temps de faire plaisir à sa partenaire, l'homme aura ce sentiment "d'échec" et donc ne pourra pas profiter pleinement de sa jouissance...

C'est chaud d'avoir des idées... la nuit...

Je ne vais pas te demander d'aller faire des recherches plus approfondies sur l'orgasme féminin, quoique... tu apprendrais sûrement qu'une femme n'est pas plus longue à atteindre l'orgasme qu'un homme. Le souci étant ici de comprendre l'énoncée du problème pour tenter de le résoudre.

Si effectivement, une femme te demande de la faire jouir en t'y prenant d'une manière précise et que tu fais l'inverse, ça va prendre un temps fou.

L'énoncée du problème, ici, consiste à trouver une dimension philosophique à la sexualité en passant OUTRE l'instinct de reproduction et OUTRE la quête de plaisir. Alors, tu amènes quelque chose de très intéressant en parlant de la domination de l'homme sur la femme...

Est-ce que cette domination serait strictement masculine ? Et si l'enjeu est la "réussite" (pour éviter ce sentiment d'échec dont tu parles), est-elle également liée à la domination ?

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Membre, 45ans Posté(e)
renard79 Membre 3 212 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

La domination peut exister dans l'autre sens mais là, ma théorie ne tient plus, donc il y a quelque chose qui m'échappe... Une femme dominante peut elle avoir le sentiment de plaisir si l'homme ne prend pas plaisir ou du moins, soit il jouit trop vite ou soit il ne jouit pas du tout?

Oula, cela est bien compliqué en fait... Pour revenir au sujet, outre cet instinct de reproduction et de plaisir, je voyais juste une dimension philosophique dans le sens où il n'y aurait de vrai plaisir que si le plaisir va dans les 2 sens...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 060 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Intéressant ce sujet.

Si nous parlons bien de la sexualité humaine et non de la sexualité animale, il me semble que la notion d'instinct de reproduction est aujourd'hui relativement faible.

Nous excluons de ce fait les relations homosexuelles, l'ensemble des relations sous contraception, les relations passionnelles qui sont l'union de deux êtres.

De mon point de vue, la sexualité n'est plus chez l'homme et chez la femme dépendant d'un instinct de reproduction au sens où ce choix d'enfanter est devenu une volonté consciente et parfaitement choisie.

On peut faire un enfant en le voulant, un enfant sans le vouloir mais il me semble que cet "instinct" de reproduction s'efface devant l'acte sexuel lui même et s'efface devant le choix qu'on opére sciemment.

Reste la notion de plaisir.

Ce que j'apprécie dans le sujet, c'est qu'il en dit davantage que ce qu'on souhaite en dire.

Qu'est ce qui se joue dans la sexualité ?

jouer.... plaisir... voici donc des thématiques qui nous parlent.

Ceci étant, si on en reste sur ces notions, l'onanisme suffit amplement...

Quelle est la dimension philosophique de l'onanisme, de la masturbation ?

L'instinct de reproduction ? Le plaisir ?

Ce que je pense de deux êtres qui entrent dans des relations sexuelles qu'ils soient hommes ou femmes, c'est qu'ils ont la possibilité et généralement les motivations bien différentes de la seule recherche de plaisir.

Et d'ailleurs le rapport de la sexualité au plaisir serait un terrain philosophique à proprement parler.

Combien de barrières place t'on avec son partenaire ? En place t'il ? Ose t'on ? Accepte t'on ? Est ce un jeu à 2, le fantasme de l'un, le fantasme de l'autre ? Est ce que se donner sur le terrain de l'autre procure une forme de plaisir parce que l'autre prend plaisir ?

Je veux dire, si on raisonne sur le seul plaisir, placez moi un harem de jeunes femmes à l'écoute de mes propres attentes et disponibles et je prendrai plaisir.

Mais la question serait de savoir combien de temps je prendrai plaisir au jeu de l'omnipotence et de la non complicité.

Il me semble que la sexualité à deux, c'est le champs d'un rapport intime profond entre deux êtres qui arrivent avec leurs désirs, leurs envies, leurs souhaits de séduction, l'envie de vivre, de plaire, de respirer, de profiter et aussi de deux êtres qui arrivent avec leurs peurs, leurs freins, leurs barrières, leurs interdits, leurs plaisirs et leurs concessions.

Il me semble que la philosophie dans la sexualité, c'est ce rapport de deux êtres complexes qui ont leurs émotions qui les dépassent, leurs barrières qui les dépassent et que cet acte intime permet une communion privée qui emmerde la planète.

Et je pense que si ce rapport est profond, issu des corps, de la raison et des émotions, on touche à l'illumination du couple et du renforcement complice de sa relation.

Entretenir ce rapport, l'enrichir, le modifier, c'est un jeu à deux.

La philosophie de la sexualité en dehors de la procréation et du plaisir, c'est le chiffre 2.

Comment enrichir l'autre et se surprendre soi même pour poursuivre plus forts à 2.

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

La domination peut exister dans l'autre sens mais là, ma théorie ne tient plus, donc il y a quelque chose qui m'échappe... Une femme dominante peut elle avoir le sentiment de plaisir si l'homme ne prend pas plaisir ou du moins, soit il jouit trop vite ou soit il ne jouit pas du tout?

Oula, cela est bien compliqué en fait... Pour revenir au sujet, outre cet instinct de reproduction et de plaisir, je voyais juste une dimension philosophique dans le sens où il n'y aurait de vrai plaisir que si le plaisir va dans les 2 sens...

Oui, ta théorie ne tient plus car la sexualité n'est pas qu'un acte entre une femme et un homme, tu comprends ?

La sexualité, c'est aussi l'abstinence, la masturbation, l'homosexualité et pour aller vers ses côtés plus sombres (moins compris), on la retrouvera dans la pédophilie, la zoophilie, et d'autres choses dont je ne suis même pas au courant... **sifflote**

Lorsque je te demande si la domination est purement masculine, je cherche à te faire réfléchir sur le sens de la domination.

Qu'est-ce que la domination ? Qui domine quoi ?

L'humain pourrait très bien être dans un axe de domination sur lui-même dans l'acte sexuel et là, je rejoins ce que j'ai commencé à développer plus avant, à savoir qu'il cherche justement à contrôler une tension, une angoisse qui se trouve être provoquée par son incapacité à dire.

Tu vois qu'intuitivement, tu es dans une certaine justesse en amenant la domination en réponse à ce sujet... ouvre ta réflexion au delà de ta connaissance pour la développer.

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