bash: /opt/openfoam231/etc/bashrc: Aucun fichier ou dossier de ce type
moi@ordinateur:~$ sudo apt-get life
[sudo] Mot de passe de moi :
E: L'opération life n'est pas valable
moi@ordinateur:~$ sudo apt-get update
E: Ligne 1 mal formée dans la liste des sources /etc/apt/sources.list.d/life.list (type)
moi@ordinateur:~$ rm /etc/apt/sources.list.d/life.*
moi@ordinateur:~$ ls
1_1.f90 1_2.o no_title.o parameter.o
1_1.o Makefile parameter.f90
Oubliés dans un hôpital, les souvenirs peu à peu s'emmêlent en
Un mélimélo canin. Jamais je n'aurais pensé que les larmes couleraient tant
Après ce dernier câlin. Dans ma tête, pourtant, j'entends encore tes pas.
Finalement, Luna, tu attraperas la balle avant moi !
Oubliées les larmes et la douleur, ton visage canin resplendit !
Une fois encore tu effaces mes maux et de tes gambades je ris.
Alors ne cesse jamais de jouer, toute folle que tu es, ma Luna.
Fielleux le Tout Puissant semble-t-
Ces dernières années, je n'ai eu de cesse de me poser la question. D'où me vient cette attrait obsessif pour la pensée et pour ses recoins les plus profondément dissous dans les méandres de la conscience ?
Cet amour inconsidérément porté vers la beauté de l'âme naît pourtant d'un amour de la beauté à l'état immédiat, celle qui me fut donné de percevoir dès les premières années de ma vie. Un son, une senteur, un vent caresseur, une vision dont le pouvoir est de magnifier toutes ces sensations au
07/12/2016
Paul Walker is such a dork. He's the only one in his films who constantly slips when running. Running... is that such a feat in the end?
What's surprising is that I have barely watched any of his films. Yet I was there, in front of a tv (or was it a tv?), watching him and his friends perform some crazy and ridiculous stunts before my amused eyes.
Yup, Paul is definitely more comfortable behind a steering wheel than he'll ever be on his legs. Wow, that's actually quite rude of me, j
Vraiment...
Vraiment...
Vraiment, t'as une mine à dégueuler ton quatre heures, Barnabé.
Avec ton sourire à demi-forcé,
Avec tes dents mal rangées,
Tu dois voir un toubib, t'es foncedé...
Aaaaah... Barnabé !
T'es comme une poire à moitié rongée,
T'es comme un mec complètement usé
Par son cancer, sa lutte, sa fatigue,
Tu fais pitié...
Mon Barnabé, cher Barnabé...
Ta voiture, on a changé sa peinture,
Tes proches pensent à te faire les poches
Et ton chien, lui, il va chez le voisin.
Aeris
(Calmement) s'élève le ballon dans une mer d'hélium
(Doucement) il atteint le point culminant, son maximum
(Lentement) se glace l'atmosphère d'un profond azur
(Sereinement) volent les oiseaux dans un océan bleu pur
Aquarius
Barque sur une étendue bleue
Erre sur des flots majestueux
Règne sur cet empire
Neptune et toute son ire.
Ouragan d'un monde enfoui
Unique berceau de la vie
L'océan et ses innombrables piliers
Lombes d'un temple sacré
Infinies catacombes d'un monde
L'écriture est un art que je bafoue sans vergogne.
La sémantique est maltraitée entre mes mains bien trop grossières et rugueuses. Mon esprit psychorigide, dans un élan fou et pathologique, cherche à conjuguer savoir et art.
"Le scientifique cherche, l'artiste trouve"
.
.
.
Je ne pensais pas grandir sur des mots. Mon esprit enfantin, pourtant, cherchait déjà à expliquer la moindre parcelle de Nature qu'il pouvait fouler, lui donner mot, en l'occurrence. Et le regard a bea
Miroir, ô tendre miroir, dis-moi...
Qui est la plus belle ?
(Rêverie)
Charmante Simplicité et son sourire d'opale ?
Ou vindicte Vérité et ses attributs de métal ?
L'une est douce, l'autre guerrière
L'une rassure, l'autre est amère.
(Etonnement)
"Comment ?", me dis-tu, "On ne peut comparer belle et belle" ?
Non, je te dis que différence il y a, et tu vas me le dire fissa !
Je te briserai, menteur invétéré,
Flatteur absurde, flagorneur... périmé !
Oses-tu m'opposer encore ces contre
Dans ma tête sonnent ces mots envolés
Sur les ondes de la Garonne.
Nougaro les a tant répétés,
Mon païs se présente, Toulouse ma patronne.
Les cieux sévères se voilent d'austérité
Sur le midi où le Soleil se couche,
Pour le lendemain mieux se lever;
Resplendissante et belle Toulouse.
Saint-Pierre, tes fidèles s'enivrent
Et le soir venu, saoûls du miel solaire,
Vont rire, éprouver ce qu'ils nomment "vivre".
Ces suppôts de Bacchus ne manquent pas d'air !
Ô Toulouse, mon périple s'achèv
Petite goutte, avance et recule Dans une folle hystérésis.
Danse, presto, petite bulle,
Sautille et glisse
Capillaires sont voies du diable
Quand tu t'aventures hors du sentier.
La dépression te guette, minable !
Prépare-toi à ramper...
Petite goutte, avance et recule
Dans une folle hystérésis.
Danse, presto, petite bulle,
Le substrat ne peut être plus lisse
A toi, E.
Je n'ai jamais vraiment fait le deuil de notre adieu. Pourtant j'ai décidé de partir pour le plus grand bien. Un bien qui dépasse notre compréhension immédiate des choses, qui fracasse la facilité en d'invisibles morceaux, qui l'atomiserait presque.
Nous avons dit adieu à nos dernières années d'insouciance et d'optimisme. Je m'en veux d'avoir trompé ta vigilance, d'avoir menti pour te faire sourire. Et qu'il était beau ce sourire. Je ne sais pas s'il était aussi volatile que ma réali
Ce paysage, il est à toi, mon ami
1 août 1994,
Ce soir, je fus à l'étage, chose qui n'était pas arrivée depuis un très long moment puisque j'ai passé ma vie au rez-de-chaussée ces derniers temps.
Un petit tour dans la salle de bain me fit voir un monument quotidien de la Nature.
De la fenêtre filtrait un rayon de lumière, doux et chaud, et alors je suivis son trajet pour observer le ciel à l'extérieur. En ouvrant la fenêtre, une brise fraîche me caressa le visage et je pus
En masse s'écoulent vents et marées
Le long de ton corps montagneux, Gaïa.
Libre et majestueux, Ouranos a semé.
Généreux, il a déposé la vie en toi.
Le souffle divin est une caresse,
Promesse d'un exil au royaume des cieux.
Car sans connaissance ni âme pécheresse,
L'Homme peut prétendre être un égal des dieux.
Les flammes en rafales s'abattent bientôt;
Le fils du très grand est un aussi grand idiot !
Ce dernier ne l'a que trop bien co
Dans le coffre étouffant
Sonne un chaos fragile, menaçant silence,
Rire bruyant, râle incessant.
Chaque instant, le manège recommence...
Pourquoi t'escrimer, te débattre, cœur de chair ?
Tiens-tu autant à exprimer
Tes griefs, et lancer un message à la mer ?
Tiens-tu tant à te délivrer ?
Chaque pas est un temps
C'est le temps de la valse, dirait Brel
Un pas sans temps,
Auteur:
I) Convoitise
Les résultats sont parvenus.
Moi et deux ami(e)s nous trouvons dans un cabinet, sans que je ne sache de quel genre de cabinet il s'agit. Alors que je lis le bulletin recensant mon classement, une pointe de déception m'envahit : Le concours s'est décidément mal passé, et je n'ai pas le rang escompté.
Mon ami tahitien, quant à lui, me surpasse d'une belle poignée de places. Cela lui permet de prétendre aux meilleures écoles(1). Je feins de cacher mon envie et cet horri
Falaise de l'esprit, gouffre obscur,
Trouble indicible, tourment et blessure,
Ta différence accable ta conscience Borderline tu es, tes peines sont immenses. Mécanique, le cliquetis des automates Bien huilés et bien articulés, Fait "cling clang !"... et tes oreilles s'acclimatent A cette vaine absurdité. Et tu en viens à penser qu'automate tu es et a toujours été. Mais peut-on ignorer l'arythmie d'un coeur de chair Qui bat désespérément la mesure, crescendo, vivace !... Qui b
Mes posts sont des jets.
Des premiers jets, qui en resteront les derniers.
Je ne les finis pas. Ce n'est pas que j'aime leur incomplétude ou ce côté inachevé, inabouti... Je n'ai juste pas trouvé le sens qui devrait les rendre finis.
L'esprit humain est complexe dans sa virtuelle souplesse, il n'a aucune forme définie et ses étendues sont indéfinies. Nous ne pouvons pas dire qu'il est infini, car l'Homme ne peut dilater l'étendue d'un temps infiniment petit pour avoir la conscience d'une in
Ce sujet est en construction
Bonjour,
Oulalah, quel titre barbare ! Vous vous posez sans doute une flopée de questions existentielles, venues à votre esprit sous l'impulsion de cette phrase grotesque.
Cet article aura pour but de synthétiser la démonstration d'un fait remarquable : Pourquoi la surface libre de l'eau d'un verre - ou tout autre récipient à géométrie cylindrique - se creuse-t-elle lorsqu'on l'agite circulairement (avec une cuillère ou d'un coup de poignet) ?
Déjà, qu'est-ce que
Bonjour,
J'ai eu l'idée d'écrire ce billet en raison d'une révision sur le sujet (milieux compressibles). J'espère faire d'une pierre deux coups pour le partiel de mardi !
Ce billet est en construction.
I) Introduction
Le tube de Rubens est une expérience d'acoustique permettant de visualiser l'amplitude et la longueur d'onde d'un son à l'aide de flammes.
II) Connaissances préalables
1) Onde
Une onde est une perturbation se propageant dans un milieu quelconque. Il s'agit d'une perturbati
Ce blog, je l'écris pour moi, tel un entrepôt de curiosités, réflexions et exposés scientifiques, et j'espère même philosophiques.
Avant tout, je souhaite qu'il puisse également servir de lecture pour celles et ceux qui seraient curieux d'en savoir plus sur un domaine qui ne leur est pas familier. Je ne prétends pas apporter des connaissances exhaustives et pointues sur ces domaines abordés, et j'ai encore moins la prétention d'aborder les questions les plus vastes et les plus complexes des sci
RIP
En collaboration avec Beaumarchais (Bibi pour les intimes)
Dans un établissement de briques rouges et de miradors,
Vastement étendu, savamment barbelé, pensé pour la ronde,
Un homme crie son amertume au fond d'un des six corridors,
Cerbère, accoutumé aux hurlements de douleurs, n'en fait lors
Un moyen de quitter ses niches où veillent de froids regards,
Glace sous casque, qui capte toute ombre dans l'absolu.
Au pavillon 53, lieu d'insensés et d'opposants, misérables et